Sortie de "Quatre jours de descente"
Aujourd'hui sort en librairie "Quatre jours de descente".
Pendant des années, ça a été un "truc", anonyme, dispersé entre mon cerveau, des centaines de fichiers sur mon ordi, des centaines de morceaux de papier.
Voir ce machin, abstrait et multiple, aujourd'hui transformé, unifié, en un objet concret qui va partir vivre sa vie, ben ça fait drôle.
Je suis fier que ce soit publié chez Mosquito, une maison qui est (selon moi) particulièrement exigeante dans le choix de ses auteurs.
Ça fait 72 pages. C'est à mi-chemin entre le fantastique et le polar. Ça parle de sentiment de culpabilité. J'espère que ça vous plaira.
Un merci tout particulier à mes collègues/copains de la Fraktory, qui ont accompagné la gestation de ce projet, corrigé les perspectives fausses, encouragé, relu la énième version, etc.
AOC n°45: Première Quête
Une illustration réalisée pour la nouvelle de SF "Première quête", de Xavier-Marc Fleury, parue dans le AOC n°45 (commandable ici). Perso, j'ai beaucoup aimé. Il y a plusieurs thèmes abordés auxquels je suis particulièrement sensible, comme les questions de l'échelle et du centrage dans le point de vue. Oui, je sais j'essaye de rester vague pour ne pas spoiler ceux qui ont l'intention de lire la nouvelle. C'était enthousiasmant et stimulant à illustrer.
Du médiéval, ancien et nouveau
Des illustrations d'entraînement, juste pour explorer de nouvelles techniques. Notamment la plume.
Peinture fraîche
Une vieille illustration, réalisée pour la nouvelle "Peinture fraîche" de Nicolas Kempf, parue dans le Présences d'esprit de l'été 2015. Une histoire sur le regard et la surveillance.
Encore un peu de Quatre jours de descente
Il en reste un peu. Je vous le mets quand même ?
Quatre jours de descente avance à grands pas !
Quatre jours de descente avance à grands pas !
Quatre jours de descente
Juste pour dire que je bosse, cet été, sur les crayonnés de "Quatre jours de descente", une fabuleuse bande dessinée de 72 pages (j'en suis à 48). Au menu: des tribunaux, des années 70, du brouillard, des bagnoles, du sentiment de culpabilité, et une réflexion sur les différents niveaux de responsabilité collective.
Je sens que je vous saoûle déjà avec mon blabla, alors je mets des images: